Nos fonds
RMM Top Management
(*) Part inactive
Valeur liquidative
54.56 €
(25/07/2024)
Actif net du fonds
19.5 M €
(25/07/2024)
Performances
+0.85 %
(YTD) (25/07/2024)
Durée de placement recommandée
5 ans
Echelle de risque
4/7
Objectif de gestion
Evolution de la valeur liquidative
Evolution années civiles
Performances au 25/07/2024
Performances cumulées | Performances annualisées | |||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
10 ans | 5 ans | 3 ans | 1 an | YTD | 1 mois | 10 ans | 5 ans | 3 ans |
69.39% | 27.60% | 9.21% | 3.92% | 0.85% | -1.96% | 5.41% | 4.99% | 2.97% |
105.54% | 41.56% | 17.51% | 1.92% | 0.34% | -2.74% | 7.46% | 7.19% | 5.51% |
Indicateurs de risque au 25/07/2024
Volatilité | Ratios | ||||
---|---|---|---|---|---|
Fonds | Indicateur de référence | Tracking-error | Ratio d'information | Ratio de Sharpe | |
1 an | 13.30% | 13.16% | 1.68% | 1.1159 | -0.0634 |
3 ans | 16.71% | 16.46% | 2.47% | -1.0705 | 0.0744 |
Commentaires
30/06/2024
L’indice parisien SBF120 (d.n.r.) a connu une chute spectaculaire au cours du mois de juin et s’inscrit en baisse de de -6.68%, pire mois depuis juin 2021. Il efface quasiment tous ses gains depuis le début de l’année et entraine les actions de la zone euro qui perdent 2,72% sur le mois (Eurostoxx d.n.r.), Cette contre-performance s’explique par la décision inattendue du Président Macron de convoquer des élections législatives, dans le sillage des résultats des élections européennes et dont l’issue pourrait avoir des conséquences économiques délétères au regard des programmes des partis extrêmes.
Sur le plan macroéconomique, aux Etats-Unis, la Réserve Fédérale a laissé ses taux directeurs inchangés pour la 7ème fois consécutive lors de son comité monétaire de juin, justifiant cette décision par des prévisions d’inflation revues en hausse. Toutefois, la publication après la réunion de la Fed du « Core PCE » le plus faible depuis mars 2021 à 2,60% en rythme annuel a ouvert la porte à une possible baisse de taux avant la fin de l’année. Malgré le maintien des coûts de financement à leurs plus hauts en 20 ans, l’économie américaine reste robuste comme en témoignent la hausse de l’ISM des services. Cependant, le moral des ménages se détériore en raison d’inquiétudes sur leur future situation financière liées à la persistance de l’inflation, à des taux d’intérêt élevés et à un marché de l’emploi en phase de rééquilibrage.
En zone euro, la BCE, estimant « opportun de réduire le caractère restrictif de la politique monétaire » a procédé sans surprise à une première baisse de taux en début de mois, malgré des prévisions d’inflation revues à la hausse. Considérant que celle-ci n’était pas encore vaincue, l’institution prône toujours le maintien d’une politique restrictive pendant le reste de l’année 2024. Les dernières statistiques en zone euro se sont révélées en deçà des attentes et renforcent l’espoir de nouvelles baisses de taux d’ici la fin de l’année. Reflétant les craintes d’une nouvelle dégradation des finances publiques françaises quelle que soit la future majorité, les taux français à 10 ans se sont tendus pour atteindre 3,30% en fin de mois, mais surtout le « spread » avec le Bund allemand à 10 ans a bondi de 35 bp pour atteindre 82 bp le 27 juin, du jamais vu depuis 2012.
Les secteurs domestiques ont particulièrement souffert en juin comme l’illustrent les reculs respectifs des télécommunications (-13%), des services aux collectivités (-11.5%) et les financières (11.1%). A l’opposé, le secteur plus défensif de la santé (-3.4%) et le secteur technologique (-4.2%) reculent moins fortement dans cette débâcle.
Au sein du portefeuille, les contributions les moins défavorables sur le mois proviennent de Sanofi (+0.2%), Cap Gemini (+0.05%), TechnipEnergies (-0.5%), Klépierre (-3.2%). A l’opposé, les contributions les plus négatives provient de titres comme Airbus (-17.7%), l’Oreal (-9.3%), Vinci (-14%), TotalEnergies (-5.8%), Bnp Paribas (-12.1%), Stellantis (-8.7%) pour les grandes capitalisations. Parmi les valeurs midcaps plus exposées en moyenne à l’activité en France, les corrections ont été sévères pour Trigano (-21.7%), Spie (-11%), ID Logistics (-13.4%) et Seb (-13.7%).
Dans un contexte de retour de la volatilité et de tensions obligataires sur la dette française, les mouvements ont été assez nombreux pour réduire l’exposition en valeurs cycliques et/ou très exposées au marché français. Ainsi, les positions sur Orange, Vinci, Société Générale et Stellantis ont été allégées. Par ailleurs, le segment technologique a été réduit par des ventes partielles sur Dassault Systèmes et Cap Gemini et dans le luxe la position sur Lvmh a été également allégée dans un contexte de reprise décevante du marché chinois.
Des achats opportunistes ont été réalisés sur des titres de qualité comme Klépierre et Amundi, sur des valeurs moyennes exposées à l’international comme TechnipEnergies, Teleperformance, Ipsos ainsi que sur Exosens lors de son introduction en bourse récente.
Indicateur Synthétique de Risque (ISR)
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Les gérants
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Caractéristiques
- Code ISIN : FR0007413117
- Forme juridique : FCP
- Classification AMF : Actions françaises
- Date de création : 01/02/1987
- Société de gestion : Rothschild & Co Asset Management
- Dépositaire : Rothschild Martin Maurel
- Affectation des résultats : Distribution
- Indice de référence : 100% SBF 120 Net TR ®
- Valorisation : Quotidienne
- Heure limite de souscriptions-rachats : 12h00
- Valeur liquidative d'application : prochaine VL (Cours inconnu)
- Règlement (Date de valeur) : VL+2
- Minimum de souscription initiale : 10 part(s)
- Souscriptions ultérieures : 1 part(s)
- Frais de gestion (maximum) : 1.5%
- Droits d'entrée (maximum) : 3%
- Droits de sortie (maximum) : Néant
- Commission de surperformance : Néant